Otodama : performance sonore
OTODAMA :
Yukari (JP / CH) : flûtes
Luc Müller (CH) : percussions
+ Elisa Murcia-Artengo (E / CH) : photographies
Yukari (JP / CH) : flûtes
Luc Müller (CH) : percussions
+ Elisa Murcia-Artengo (E / CH) : photographies
Vendredi 3 juin 2022
Portes 20h30, performance 21h
Entrée libre / donation
Entrée libre / donation
Otodama est une rencontre musicale entre la flutiste Yukari et le percussioniste Luc Müller dont le résultat est une musique improvisée méditative, où le silence et tous ses bruits sont considérés comme un.e 3ème musicien.ne.
L’écoute en est l’architecte principale et ne met pas de hiérarchie entre les sons environnants et les sons musicaux.
Otodama est allé enregistrer sa musique dans la forêt, dont les sonorités sont une source d’inspiration quel que soit le contexte musical dans lequel le duo se produit.
L’exploration de la musicalité intérieure, libre, sans volonté démonstrative, fait glisser par moment la flûtiste vers la percussion et le percussionniste vers le souffle. Ainsi il arrive que les rôles soient échangés, le soufflant devient tapant et le tapant devient soufflant.
Au-delà des sons de la forêt, des sons des musiciens, des sons du silence, il s’agit surtout de se mettre à l’écoute et de trouver la voie qui mène à l’origine de tous ces sons, la vie et son énergie créatrice, et de tenter d’en sculpter une forme musicale.
Pour cette soirée le duo sera accompagné des photographies de Elisa Murcia-Artengo qui, inspirée par le projet Otodama est allée à la recherche de son essence dans la nature justement entourée de la nouvelle naissance du printemps. La sève des plantes qui jaillit vibre, les racines qui poussent et soutiennent l’arbre résonnent.
L’écoute en est l’architecte principale et ne met pas de hiérarchie entre les sons environnants et les sons musicaux.
Otodama est allé enregistrer sa musique dans la forêt, dont les sonorités sont une source d’inspiration quel que soit le contexte musical dans lequel le duo se produit.
L’exploration de la musicalité intérieure, libre, sans volonté démonstrative, fait glisser par moment la flûtiste vers la percussion et le percussionniste vers le souffle. Ainsi il arrive que les rôles soient échangés, le soufflant devient tapant et le tapant devient soufflant.
Au-delà des sons de la forêt, des sons des musiciens, des sons du silence, il s’agit surtout de se mettre à l’écoute et de trouver la voie qui mène à l’origine de tous ces sons, la vie et son énergie créatrice, et de tenter d’en sculpter une forme musicale.
Pour cette soirée le duo sera accompagné des photographies de Elisa Murcia-Artengo qui, inspirée par le projet Otodama est allée à la recherche de son essence dans la nature justement entourée de la nouvelle naissance du printemps. La sève des plantes qui jaillit vibre, les racines qui poussent et soutiennent l’arbre résonnent.